Isabelle Aboulker-Rosenfeld
Isabelle Aboulker est née en 1938 dans la concordance d’influences d’un grand-père compositeur, Henry Février, et d’un père cinéaste et écrivain, Marcel Aboulker. Parallèlement à des études d’écriture et d’accompagnement au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, elle compose pour le cinéma, le théâtre, la télévision. Accompagnatrice, chef de chant, puis professeur auprès des jeunes chanteurs au CNSM, c’est autour de la voix de l’opéra que se concentre à partir de 1981 son activité créatrice. Attentive à la prosodie, exigeante dans le choix de ses livrets, elle se veut héritière de la tradition française : Debussy, Ravel, Poulenc. L’excellent accueil suscité par la création de son premier ouvrage lyrique « Les Surprises de l’Enfer » (1981) lui fait apparaître l’évidence de son orientation :
« Leçons de français aux étudiants américains » (1983), « Trois folies d’opéra pour trois femmes compositeurs » (1986), « Cinq Nô Modernes » (1992), « La Lacune » (1993), « Monsieur Balzac fait son théâtre » (1999), « Le Renard à l’Opéra » (2004). Le nom d’isabelle Aboulker est également indissociable d’opéras pour enfants. De « Moi, Ulysse » (1982, commande de Jean-Claude Malgoire pour l’Atelier Lyrique de Tourcoing) à « Jérémy Fisher » (2007, commande du Quatuor Debussy et de l’Opéra de Lyon), ses ouvrages « Atchafalaya », « Martin Squelette », « Douce et Barbe Bleue », « La Fontaine et le Corbeau », « Les Fables Enchantées », « Les Enfants du levant » sont fréquemment travaillés par des conservatoires et écoles de musique, et figurent régulièrement dans la programmation Jeune Public de grandes scènes françaises ou étrangères. « Douce et Barbe Bleue » et « Les Fables Enchantées » font l’objet de livres-disques chez Gallimard jeunesse. Isabelle Aboulker a également composé dans la collection « Ecoutez-lire » plusieurs partitions qui accompagnent « Le Petit Prince », « Inconnu à cette adresse », « L’ami retrouvé »…
Conjointement au développement de sa carrière de compositeur, distinguée par un prix de l’Académie des Beaux-Arts en 1999 et le Prix Musique de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques en 2000, Isabelle Aboulker a publié plusieurs ouvrages pédagogiques destinés aux chanteurs durant la période où elle a assumé, de 1983 à 2003, la charge de professeur de formation musicale au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.
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Site internet de Isabelle Aboulker-Rosenfeld : http://www.isabelle-aboulker.com
Eugénie Alecian
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Gilbert Amy (1936)
Né en 1936 à Paris, Gilbert Amy obtient à la fin de ses études secondaires le premier prix au Concours général de philosophie.
Il décide alors de s'orienter définitivement vers la musique et entre au Conservatoire de Paris où il sera l'élève de Simone Plé-Caussade, Henriette Puig-Roger, Darius Milhaud et Olivier Messiaen.
Quelques années plus tard, il fait la connaissance de Pierre Boulez qui lui commande Mouvements, partition jouée au Domaine musical en 1958.
Dès lors ses oeuvres seront exécutées dans tous les hauts lieux de la création musicale : Donaueschingen, Darmstadt, Venise, Royan, Berlin, Varsovie...
C'est en 1967, à l'âge de 31 ans, qu'il succède à Pierre Boulez à la direction des concerts du Domaine musical, et ce jusqu'au début de 1974, date à laquelle cesseront les activités de l'ensemble.
Parallèlement, Gilbert Amy a poursuivi une carrière de chef d'orchestre en France et à l'étranger, dirigeant un répertoire très étendu.
Citons, parmi les orchestres qu'il a dirigés : l'Orchestre de Paris, l'Orchestre national de France, l'Orchestre de l'Opéra de Paris, l'Orchestre symphonique de la BBC, l'Orchestre de la radio de Hambourg, l'Orchestre de la radio Bavaroise, l'Orchestre de Chicago, l'Orchestre de la Suisse romande...
En 1976, Gilbert Amy fonde le Nouvel orchestre philharmonique de Radio-France, dont il sera le premier chef d'orchestre et le directeur artistique jusqu'en 1981.
Il assure avec cette formation près de cent concerts et enregistrements , ainsi que plusieurs tournées en France et à l'étranger.
Citons, parmi les activités pédagogiques entreprises à l'époque, la session de direction d'orchestre du centre Acanthes en 1979 avec György Ligeti.
En 1982, il enseigne la composition et l'analyse musicale à l'université américaine de Yale.
Il est directeur du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon depuis 1984.
Gilbert Amy a reçu en 1979 le Grand Prix national de la musique, en 1983 le Grand Prix de la Sacem, en 1986 le Grand Prix Musical de la Ville de Paris, en 1987 le Prix du Disque de l'Académie Charles-Cros et le Prix de la Critique Musicale pour la Missa cum jubilo.
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David André
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Alphonse Autran
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Nicolas Bacri (1961)
Nommé aux "Victoires de la musique classique 2004" dans la catégorie
"compositeur de l'année", Nicolas Bacri, né à Paris en 1961, est l'auteur de
près de quatre-vingt-dix œuvres dont six Symphonies, six Cantates, cinq
Quatuors à cordes, trois Trios avec piano et plus de quinze œuvres concertantes pour piano, deux pianos, violon, alto, violoncelle, flûte, hautbois, clarinette, trompette, violon-piano et orchestre, hautbois-violoncelle et
cordes.
Récemment sa Sixième Symphonie écrite à la demande de Radio-France pour
l'Orchestre National de France et Leonard Slatkin a été enregistrée, et son Divertimento pour piano, violon et orchestre, commande de la Ville de Paris, a été créé par l'Orchestre Philharmonique de Radio-France au Théâtre du Chatelet, diffusé en direct par France-Musique et télévisé. Son œuvre, Une Prière, pour
violon et orchestre, vient de faire l'objet d'un enregistrement discographique (sortie mai 2004) pour la firme RCA (BMG), avec Laurent Korcia et l'Orchestre symphonique de la WDR de Cologne sous la direction de Semyon Bychkov qui, dans la foulée, commande à N. Bacri son 3° Concerto pour violon op. 83, créé, enregistré et télévisé en novembre 2003.
N. Bacri commence par l'apprentissage du piano à l'âge de sept ans puis complète sa formation par l'étude de l'harmonie, du contrepoint, de l'analyse musicale et de la composition avec Françoise Gangloff-Levéchin et Christian Manen puis, à partir de 1979, avec le compositeur d'origine allemande Louis
Saguer. En 1980, il entre au CNSM de Paris où il recevra l'enseignement de
Claude Ballif, Marius Constant, Serge Nigg et Michel Philippot. Il quitte le
Conservatoire avec le premier prix de composition en 1983 et devient, pour deux ans, pensionnaire à l'Académie de France à Rome (Villa Médicis).
En 1987, Radio-France le nomme au poste de délégué artistique du service de la
musique de chambre. Il abandonne cette activité en 1991 pour se consacrer entièrement à la composition en devenant pensionnaire de la Casa de Velasquez (jusqu'en 1993). Soutenu par la Fondation d'entreprise Natexis de 1993 à 1996 il réside à La Prée à l'invitation de l'Association culturelle "Pour Que
l'Esprit Vive" de 1993 à 1999 et remporte de nombreux prix parmi lesquels le Grand Prix de l'Académie du disque 1993 et plusieurs prix de la S.A.C.E.M. et de l'Académie des Beaux-Arts pour l'ensemble de son œuvre. Premier compositeur invité de l'Orchestre Symphonique Français (direction Laurent Petitgirard) il a été nommé "compositeur en résidence" à l'orchestre de Picardie par Louis Langrée pour lequel il a écrit ses 4° et 5° Symphonies, puis par Xavier Delette pour lequel il a écrit sa 5° cantate, créée et enregistrée par l'Orchestre de Bayonne-Côte-Basque.
Depuis la création de son premier Concerto pour violon lors de la série de
concerts à Radio-France "Perspectives du XXème Siècle" (1985), N. Bacri a reçu
des commandes régulières de Radio-France, du Ministère de la Culture et de nombreux orchestres, solistes et festivals.
«Un temps ancrée dans une esthétique constructiviste post-webernienne dont le
point culminant est sa Symphonie n°1 dédiée à Elliott Carter, sa musique a
progressivement renoué, depuis son Concerto pour violoncelle de 1987 (dédié à Henri Dutilleux), avec cette continuité mélodique que l'esthétique prédominante de l'après-guerre avait évacuée. Loin de constituer une régression, au sens adornien du terme, ce virage contribue à inscrire N. Bacri dans l'esthétique de son temps, une esthétique de la réconciliation.» (Philippe Michel, The New Grove Dictionary of Music and Musicians, édition 2001).
En plus des meilleurs solistes, orchestres et ensembles français tels
l'Orchestre National de France, l'Orchestre Philharmonique de Radio-France, l'Ensemble Orchestral de Paris, la Maîtrise de Radio-France, les Pages et les Chantres de la Chapelle Royale de Versailles (Olivier Schneebeli), le Ch¿oelig;ur
Arsys Bourgogne (Pierre Cao), l'Ensemble Accentus (Laurence Equilbey), le
Choeur Britten (Nicole Corti),le jeune Choeur de Paris, l'Ensemble à vent
Paris-Bastille (Octuor), les ensembles Alternance (Jean-Luc Menet), 2E2M (Paul
Méfano), Hélios, Musique Oblique (Rémi Lerner),Phoenix (Jean-François Zygel),
les quatuors Arpeggione, Athéneum-Enesco, Danel, Gaudeamus, les Trios Coriolan,
Duruflé, Henry, Lions Gate, Wanderer, Tasso Adamopoulos, Sylvie Althaparro,
Thierry Amadi, Eric Aubier, Christophe Beau, Philippe Bender (Orchestre
Régional de Cannes),Vinciane Béranger, Michel Béroff (Orchestre Lyrique
Régional Avignon-Provence), Philippe Bernold, Emmanuelle Bertrand,
François-Xavier Bilger (Orchestre Lyrique Régional Avignon-Provence), Sébastien
Billard (Orchestre de la Garde Républicaine), Laurent Boukobza, François
Boulanger (Orchestre de la Garde Républicaine), Roger Boutry, Lionel et Nicolas
Bringuier, Renaud Capuçon, Hortense Cartier-Bresson, Gérard Caussé, Olivier
Charlier, Raphaël Chrétien, Denis Cohen, Guy Comentale, Philippe Cuper, Xavier
Delette (Orchestre de Bayonne-Côte-Basque), Henri Demarquette, Marc Desmons,
Pierre-Marie Dizier, Jérôme Ducros, Johan Fargeot, Eric Ferrand-N'Kaoua, Robert
Fontaine, Anne-Lise Gastaldi, Christophe Gaugué, Philippe Graffin, David
Grimal, David Guerrier, François-Frédéric Guy, Romain Guyot, Jean-Louis
Haguenauer, Florent Héau, Pierre Hommage, Sylvie Hue, Marie-Josèphe Jude,
Jean-Jacques Kantorow, Fayçal Karoui (Orchestre de Pau), Laurent Korcia, Louis
Langrée (Orchestre de Picardie, Orchestre d'Auvergne), Geneviève Laurenceau,
Jean-Pierre Lecaudey, Antoine Lederlin, Maryvonne Le-Dizès, David Lefévre,
François Leleux, Eric Lesage, Michel Lethiec, Frédéric Lodéon, Cyrille Mercier,
Alain Meunier, Clémentine Meyer, Paul Meyer, Florence Millet, Philippe Muller,
Emile Naoumoff, Régis Pasquier, François Payet, Jérôme Pernoo, Laurent
Petitgirard (Orchestre Symphonique Français), Xavier Philips, Roland Pidoux,
Loïc Pierre (Choeur Mikrokosmos), Marianne Piketty, Yves Prin, Lorène de
Ratuld, Bruno Rigutto, Valérie Rio, François Salque, François Sauchard, Michèle
Scharapan, Isabelle Senges, Clara Strauss, Sylvie Sullé, Arnaud Thorette,
Yann-Pascal Tortelier (Orchestre National de Lille), Thomas Valverde, Yannick
Varlet, Laurent Verney, Pascal Verrot (Orchestre Poitou-Charentes), Jonas
Vitaud, Jean-Pierre Wallez, Bertrand Walter, Dominique de Williencourt,
Pierre-Henri Xuereb (...), la musique de N. Bacri à été interprétée par des
artistes étrangers de renommée internationale parmi lesquels Konrad von Abel
(Orchestre des Régions Européennes), Enrique Azurza, Annette Bartholdy, Pierre
Bartholomée, Radu Blidar, Evelina Borbei, Martyn Brabbins, Peter Bruns, Semyon
Bychkov, Dana Cioccarlié, Akiko Ebi, Pär Ennokson, Frederik Fors, Natalia
Gutman, Daniel Harding, Richard Hickox, Carl Högset, Natalia Likhapoï, Vassili
Lobanov, John Nelson, Marietta Petkova, John Poole, Diemut Poppen, Timothy
Reynish, Jeroen Reuling, Marti Rousi, Svetlin Roussev, Oswald Sallaberger
(Orchestre Léonard de Vinci-Rouen), Leonard Slatkin, Ronald van Spaendonck,
Arturo Tamayo, Jose-Luis Temes, Janne Thomsen, Pieter Wispelwey, le Quatuor
Lindsay, le Quatuor Sine Nomine, le Quatuor de Vilnius, l'Ensemble Asko
(Amsterdam), l'Ensemble Antidogma (Turin), l'Orchestre de chambre Musica Vitae
(Tobias Ringborg), l'Orchestre Philharmonique Georges Enesco (Bucarest),
l'Orchestre Philharmonique de Liège, l'Orchestre Symphonique de Londres,
l'Orchestre symphonque de la W.D.R. de Cologne, le Philharmonia Orchestra
(Londres), le Riverside Symphony Orchestra (New-York), le Tapiola Sinfonietta
(Helsinki) et les BBC Singers (Londres).
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Site internet de Nicolas Bacri : http://nicolasbacri.net
Claude Ballif (1924 - 2004)
Il suit ses premières études musicales au Conservatire de Bordeaux. Au Conservatoire national il suit les classes de Noël Gallon, Tony Aubin et Olivier Messiaen. Puis, en 1954, à Berlin, il étudie avec Boris Blacher, Joseph Rufer et Hans-Heinz Stuckenschmidt.
Il est lecteur aux Instituts Français de Berlin et de Hambourg. Il suit les cours d’été à Darmstadt (avec Luigi Nono, Bruno Maderna, Luciano Berio et Karlheinz Stockhausen).
En 1955 il obtient le Premier prix de Composition du Concours international de Genève avec Lovecraft pour orchestre et son 1er Quatuor à cordes.
En 1956 il publie dans la «Revue musicale» son traité Introduction à la métatonalité. Il y propose une gamme défective de 11 sons.
En 1958 il est un des premiers à utiliser le hasard avec son oeuvre Phrases pour le souffle
En 1959, de retour en France, il est assistant au Groupe de Recherches Musicales (GRM) de la R.T.F. (Radio Télévision Française) avec Pierre Schaeffer jusqu'en 1963. Il y rencontre Iannis Xenakis, François Bayle et Ivo Malec et compose deux oeuvres pour bande magnétique : Études au ressort en 1961 et Points, Mouvements l'année suivante.
En 1964 il reçoit le Prix de la Communauté européenne radiophonique pour la Musique. En 1965 il créé A Cor et à Cri pour orchestre sous la direction d'Hermann Scherchen au Théâtre des Champs-Elysées.
Il est professeur à l’École normale de musique de Paris et professeur de pédagogie musicale et d’analyse au Conservatoire de Reims.
Il publie en 1968 un livre sur Berlioz. Il participe à la création du département de musicologie à L'Université de Vincennes (Paris VIII) avec son ami le philosophe et musicologue Daniel Charles.
De 1971 à 1990 il enseigne l'analyse au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, puis au Conservatoire de Sevran.
En 1974, il obtient le Prix Arthur Honegger avec sa symphonie Le Monde qui vient. En 1975 le Prix Florent Schmitt de l’Académie des Beaux-Arts lui est décerné.
En 1978-1979, il est détaché à l’Université Mc Gill de Montréal pour y enseigner l'analyse, l'harmonie et la composition). Il reçoit le Grand Prix de la musique de la ville de Paris en 1980.
A partie de 1982, il est professeur associé de composition au Conservatoire national supérieur de musique de Paris. Il est professeur invité au Festival de Shanghaï, compositeur en résidence à Cambrai, puis à Marseille
En 1984 le Festival Estival de Paris lui est dédié.
Il est en 1984 Chevalier des arts et lettres, en 1986, il reçoit le Grand Prix SACEM de la Musique Symphonique, en 1991 il est Officier dans l’Ordre national du mérite, Commandeur dans l’ordre National du mérite en 1994, obtient le Grand Prix national de la Musique en 1999.
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Narcis Bonet
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Maury Buchala (1967)
Né en 1967 au Brésil, Maury Buchala étudie le piano, la composition et la direction d'orchestre à l'Université de São Paulo. A l'issue de ce cursus, Maury Buchala est lauréat du concours de la Fondation CAPES - Brésil et reçoit une bourse d'études pour continuer son perfectionnement en direction d'orchestre et composition en Europe.
Maury Buchala travaille la composition à Paris et participe à des nombreux cours et séminaires sous la direction de Jonathan Harvey, Emmanuel Nunes, Brian Ferneyhough, Tristan Murail, Roger Tessier ; et la direction d'orchestre auprès des chefs d'orchestre hongrois Peter Eötvös et Zoltan Peskó. Il participe également aux montages des opéras Les Trois Soeurs et Angels in America au Théâtre du Châtelet, écrites et dirigées par le compositeur et chef d'orchestre Peter Eötvos.
Intéressé tout particulièrement par le théâtre musical, Maury Buchala compose Poèmes Parallèles pour voix mezzo et petit ensemble à partir de poèmes de Joyce, Nerval, Neruda et Nietzsche mis en musique ainsi que 3 pièces pour percussion et voix, création pour la danse produite par le Théâtre Malakoff - 71 (scène nationale).
Parmi les oeuvres instrumentales pour ensemble les plus récentes citons Extraits pour 9 instruments (2001) créé sous sa direction par l'Ensemble hongrois UMZE en partenariat avec la Peter Eötvös International Foundation et le Centre Acanthes, et Trichromia pour 11 instruments (2004) une commande de musique nouvelle en liberté créée par l'Ensemble L'Itinéraire.
Cette volonté de s'appuyer sur des recherches de nouvelles textures, influencée notamment par la simulation du son électronique dans les procédés instrumentaux, l'a amené, en rupture avec le dispositif instrumental très hétérogène de ses oeuvres instrumentales, à écrire une série de pièces pour cordes solo et en groupe nommé Eindrücke. En 2004, le compositeur a reçu une commande de l'Ensemble l'Itinéraire pour la création de Eindrücke pour alto solo.
Maury Buchala porte un grand intérêt à la direction d'orchestre. En 2001 il fonde la Camera Linea, un ensemble composé uniquement de cordes et orienté vers la musique classique et néoclassique du XXe siècle. Maury Buchala s'est également produit de nombreuses fois dans du répertoire symphonique avec divers orchestres en Europe et en Amérique du Sud dont le Vidin Philharmonic Orchestra (Bulgarie), le Savarian Symphonie Orchestra (Hongrie), l'Ensemble Orchestral de São Paulo et l'Orquestra Reunidas do Estado de São Paulo. Il a également travaillé en tant qu'interprète de la musique contemporaine avec des ensembles comme Accroche Note, l'Octuor de France, UMZE (Hongrie) pour des concerts à Budapest, Paris et Cologne.
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Patrick Burgan (1960)
Né le 17 mars 1960 à Grenoble, Patrick Burgan commence ses études musicales au Conservatoire de Toulouse.
Après un brillant cursus universitaire en musicologie (premier nommé au CAPES en 1985, deuxième nommé à l'Agrégation en 1986), il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il est notamment élève d’Ivo Malec, et obtient en 1988 un premier prix d'orchestration, puis en 1990 un premier prix de composition à l'unanimité qui lui ouvre l'accès au troisième cycle dans la classe de Gérard Grisey.
La même année il reçoit les conseils de Franco Donatoni à l'Academia Chigiana de Sienne puis effectue un stage d'informatique musicale à l'I.R.C.A.M. avec Tristan Murail et Philippe Manoury.
Depuis, plusieurs fois lauréat de l'Institut et vainqueur de nombreux concours de composition, il a été pensionnaire de la Casa de Velasquez à Madrid de 1992 à 1994, et s'est vu attribuer en novembre 1996 le prix de la Fondation "Simone et Cino Del Duca" et de l'Académie des Beaux-Arts.
Ses œuvres sont régulièrement jouées dans la plupart des pays d'Europe, mais aussi aux Etats-Unis, Canada, Afrique du Sud, Indonésie, Japon, etc. par des formations telles que l’Orchestre National de France, l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, les chœurs Accentus, Les Eléments, l’ensemble Musicatreize, Les jeunes solistes, la Maîtrise de Radio-France, Le Concert-Spirituel, le National Chamber Choir d’Irlande, l’ensemble Parnassus de New-York, l’ensemble 2e2m, l’Itinéraire, et des solistes tels que Nicholas Angelich, Emmanuel Strosser, Michel Arrignon, Alain Damiens, Michel Bourcier, Philippe Graffin, Salomé Haller …
Elles sont disponibles aux éditions Billaudot, Jobert et Leduc (Paris)
Il a reçu en 2000 le prix Claude Arrieu de la Sacem pour l'ensemble de son œuvre et est aujourd'hui maître de conférences associé à l'université de Toulouse.
Sa musique, expressive et sensuelle, revêt un caractère indéniablement théâtral.
Un premier opéra, "La source des images ou Narcisse exaucé " sur un livret du poète Marc Blanchet, fut produit par l’ensemble Musicatreize et créé en 2000 à Tarbes, Nîmes et Marseille dans une mise en scène de Pierre Barrat.
En mai et juin 2006, c’est le Théâtre du Châtelet qui assure la création de son deuxième opéra « Peter Pan ou la véritable histoire de Wendy Moira Angela Darling » dans une distribution prestigieuse comprenant Marie-Christine Barrault, Gaële Le Roy, Marc Barrard, François Piolino, Eric Freulon, les enfants solistes de Sotto voce (dir. Scott Prouty), la Maîtrise de Paris (dir. Patrick Marco) les chœurs et orchestre sous la direction de Claire Gibault, mise en scène d’Isabelle Partiot, costumes de Christian Gasc, et les acrobates de la compagnie du Bois-Midi.
A noter la parution prochaine aux éditions Cigart d’un livre d'entretiens et d'analyse consacré au compositeur par la musicologue Sylviane Falcinelli.
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Site internet de Patrick Burgan : http://www.patrickburgan.fr
Gérard Calvi
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Philippe Capdenat (1934)
Né en 1934 à Bordeaux, Philippe Capdenat mène de front des études musicales et scientifiques, d’abord dans cette ville, puis à Saint-Etienne au Conservatoire et à l’Ecole des Mines, enfin à Paris où il est ingénieur en même temps qu’élève de Max Deutsch à l’Ecole Normale.
Durant toute cette période il dirige diverses chorales et un orchestre de chambre, tout en composant ses premières œuvres.
Après 1968 il délaisse progressivement ses activités d’ingénieur au profit de la composition et voit ses œuvres créées par des ensembles comme « Ars Nova », « Le Domaine Musical », « L’Itinéraire », des orchestres comme l’Orchestre de Paris, les orchestres de Radio-France, les orchestres nationaux de Lille et de Bordeaux-Aquitaine, des chefs comme Serge Baudo, Jean-Claude Casadesus, Patrick Fournillier, Pascal Verrot, et des solistes comme Christian Ivaldi, Sylvio Gualda, David Simpson, Brigitte & Gaston Sylvestre, Mady Mesplé, Liliane Mazeron, Jean-Paul Fouchécourt.
Si ses premières œuvres s’inscrivent dans ce qu’on appelait alors « l’avant-garde », il s’est ensuite orienté vers une musique plus « lyrique » aux deux sens du terme : mélodique et harmonique d’abord, dans la lignée de Berg et allant même parfois jusqu’au néo-tonal ; destinée à la voix ensuite dans des pièces pour le concert, l’opéra ou l’église. Citons parmi ces dernières « Croce e delizia » pour Mady Mesplé, « Sébastien en martyr » pour l’opéra de Tours, « Requiem » pour le festival d’art sacré de Dax, et « Le condamné à mort » pour l’Opéra Eclaté.
On peut dire qu’il cherche à s’exprimer dans un langage clair, donnant à l’auditeur les clés pour l’entendre, sans démagogie ni complaisance et, pour citer Schoenberg, « avec tout le confort moderne ».
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Site internet de Philippe Capdenat : http://www.capdenat.com
Stéphane Caplain
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Jacques Castérède (1926)
Jacques Castérède est né à Paris en 1926. Après des études secondaires au lycée Buffon, il entre en 1944 au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il aura notamment comme professeurs Tony Aubin et Olivier Messiaen. De 1948 à 1953, il obtient successivement les premiers prix de piano, musique de chambre, harmonie, composition et analyse musicale.
En 1953, le Premier Grand Prix de Rome de composition musicale lui est décerné, ce qui lui permet de séjourner à la Villa Médicis à Rome de 1954 à 1958.
En 1960, il est nommé professeur de formation musicale pour les chanteurs au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il occupera successivement les postes de professeur conseiller aux études, puis de professeur d'analyse musicale supérieure en 1971. En 1988, il est nommé en outre professeur de composition, discipline qu'il enseigna également de 1983 à 1988 à l'Ecole Normale de Musique de Paris.
Parmi ses compositions, citons :
des œuvres écrites pour la scène ("But", ballet créé à l'Opéra de Paris en 1963) ou pour le plein - air ("Jusqu'à mon dernier souffle..." œuvre commandée pour le centenaire de la Statue de la Liberté à New - York).
Citons aussi des œuvres pour orchestre et ensembles vocaux telles, entre autres, Les Liturgies de la vie et de la Mort, le Cantique de la Création, des œuvres pour ensemble de cuivres et orgue (Trois Visions de l'Apocalypse) et de nombreuses œuvres de musique de chambre (Sonates pour alto et piano, violoncelle et piano, pour divers instruments à vent, quatuors... etc.).
En 1988, il participe à une mission d'enseignement en Chine, au Conservatoire Central de Pékin où il donne des cours de composition, ainsi qu'une série de conférences sur la musique française actuelle, mission qui sera renouvelée en 1998.
L'ensemble de son œuvre a été couronné par de nombreux prix parmi lesquels, en 1991, le Grand Prix Musical de la Ville de Paris et le Prix de la Nouvelle Académie du Disque, et en 1995, le Grand Prix du disque de l'Académie Charles Cros.
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David Chaillou
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Philippe Chamouard
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Charles Chaynes
Charles Chaynes est né à
Toulouse en 1925 de parents musiciens, professeurs au Conservatoire de cette
ville.
Dès son plus jeune âge, il
travaille la musique avec ses parents et suit les cours du Conservatoire de
Toulouse.
Il vient ensuite poursuivre ses études
au Conservatoire National de Paris où il travaille le violon, l'harmonie,
la fugue, la composition.
Il obtient les premiers prix de ces disciplines
et en 1951 le Premier Grand Prix de Rome (disciple de Darius Milhaud).
De 1952 à 1955 : Pensionnaire
de l'Académie de France à Rome.
1965 : Grand Prix Musical de la
Ville de Paris.
1960 : Lauréat du Concours
musical Prince Pierre de Monaco.
1968-70-75-81 : Prix du Disque (Académie
du Disque Français).
1979 : Lauréat de la Tribune
Internationale des Compositeurs (UNESCO).
1984 : Grand Prix du Disque (Académie
Charles Cros) pour son opéra "ERZSEBET".
1989
: Grand Prix du Disque (Académie du Disque Français) pour son
opéra "NOCES DE SANG".
1993/1994 : Création de l'Opéra
JOCASTE : opéra de Rouen - TFL - Radio-France -CD Chamade - Avant-scène
Opéra.
1996 : Orphée d'Or de l'Académie
du Disque Lyrique
De 1965 à 1975 : Directeur
de la Chaîne France-Musique à l'ORTF.
De 1975 à 1990 : Chef du
Service de la Création Musicale à RADIO-FRANCE.
Chevalier de la Légion d'Honneur,
des Arts et Lettres, Officier de l'Ordre National du Mérite.
1998 : Prix Cino del Duca de l'Institut
de France.
2000 : Cécilia - Création
Opéra de Monte-Carlo
TF1 - Mise en scène, Jorge Lavelli - Livret Eduardo MANET.
Officier de la Légion d'Honneur
et de l'Ordre National du Mérite
Chevalier des Arts et Lettres.
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Pierre Cholley
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Adrienne Clostre (1921 - 2006)
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Jean-Bernard Collès
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Marius Constant (1925 - 2004)
Marius Constant passe sa jeunesse en Roumanie où il poursuit
ses études au Conservatoire royal et où il obtient les Prix de piano,
de composition et d'écriture. En 1946, il entre au Conservatoire
national supérieur de Musique de Paris où il obtient, en 1949, les Premiers
Prix de composition et d'analyse, simultanément à la Licence de concert
pour la direction d'orchestre, à l'Ecole normale de Musique
(dans la classe de Jean Fournet). Parmi ses professeurs, on peut citer
Tony Aubin, Olivier Messiaen, Nadia Boulanger et Arthur Honegger.
Co-fondateur et directeur de France-Musique (1954-1969),
Marius Constant a été également Directeur musical des Ballets de Paris
de Roland Petit (1956-1963), Directeur musical de la Danse à l'Opéra
de Paris (1973-1978), ainsi que professeur d'orchestration au Conservatoire
de Paris (1979-1988), de composition et d'analyse à l'Université
de Stanford (Californie). Fondateur et directeur de l'ensemble "Ars
Nova", Marius Constant a été invité par les principaux orchestres
d'Europe, des U.S.A., du Japon et par les Opéras de Berlin, Paris,
Hambourg, le Bolchoï (Moscou), le MET (New-York), Covent Garden (Londres).
En tant que compositeur, parmi ses principales œuvres,
on peut citer : 24 préludes pour orchestre, créé par Léonard
Bernstein, Chaconne et Marche militaire par l'Orchestre
de Philadelphie, Turner, créé au Festival d'Aix-en-Provence'
Marius Constant a également écrit pour la scène : Eloge de la Folie,
Le Paradis perdu, Nana, L'Ange bleu pour
les Ballets de Roland Petit, Haut-Voltage pour Maurice
Béjart, Candide pour la Compagnie Marcel Marceau, La
Cerisaie, La Tragédie de Carmen, Impressions de Pelleas
avec Peter Brook. En 1996, l'Opéra de Normandie a créé Sade-Teresa.
La personnalité et la démarche artistique de Marius Constant
sont parfaitement illustrées par cette phrase de Cioran qu'il aime
citer régulièrement : "Celui qui parle
au nom des autres est toujours un imposteur. Politiques, réformateurs
et tous ceux qui se réclament d'un prétexte collectif sont des tricheurs.
Il n'y a que l'artiste dont le mensonge ne soit pas total, car
il n'invente que soi".
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Michel Decoust
Né en 1936, baignant dans la musique dès son enfance, Michel Decoust s’engage entièrement dans cette carrière à la fin des années 50. Parcours marqué par toutes sortes de dualités, à commencer par celle qui frappe toute la musique savante en Europe à cette époque: écrire sériel ou pas, revendiquer l’appartenance à une avant-garde ou non. Une alternative contournée et maîtrisée, puisque Decoust est à la fois l’homme d’un Prix de Rome (1963) et la cause d’un scandale esthétique, à la suite d’une œuvre expérimentale avec sons atomisés, écrite pour l’Orchestre National et créée dans la Cathédrale de Royan (1967).
Hésitant à ses débuts entre la composition et la direction d’orchestre, il mène finalement de front les deux métiers, le second jusqu’aux années 80. En 1973, il créé avec Irène Jarsky et Martine Joste le Conservatoire de Pantin, après avoir participé, à la demande de Marcel Landowski, à la fondation de l’Orchestre des Pays de la Loire de 1967 à 1971.
En 1975, il est invité par Pierre Boulez à diriger le département pédagogique de l’Ircam (où il est davantage intéressé par la recherche d’outils nouveaux pour l’analyse et la pédagogie que par l’ordinateur en tant que tel). Il retourne ensuite au Ministère de la Culture, où il rassemble et soutient de multiples studios de recherche. Michel Decoust est donc le fédérateur de deux mondes, comme si son propre parcours esthétique (qui l’a mené d’une formation classique au Conservatoire à la musique la plus conceptuelle, puis à une véritable libération vis-à-vis de tout diktat esthétique) trouvait là une raison d’être.
Se définissant lui-même comme «entrepreneur» et «bâtisseur», Michel Decoust ne pouvait que refuser toute forme d’exclusion et d’esprit de chapelle: à ses débuts, les concerts du Domaine musical et ceux de la Radio l’attirent également. Quarante ans plus tard, il compose un premier opéra, sans renier aucune des étapes précédentes – la voix étant d’ailleurs l’un de ses champs créateurs privilégiés…
Hélène Pierrakos
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Site internet de Michel Decoust : http://michel-decoust.net/
Photo : Liliane Prot
Jean-Jacques Di Tucci (1958)
Compositeur français né en 1958 à Montpellier, Jean-Jacques Di Tucci débute sérieusement ses études musicales à l’âge de dix huit ans au Conservatoire National de Région de sa ville natale. Quelques années plus tard il commence une carrière dans l’enseignement du piano et donne régulièrement des concerts de musique de chambre. Son ouverture à différentes esthétiques musicales l’amène à jouer également en formation de jazz .
Vers l’âge de trente ans il décide de se consacrer en priorité à la composition. Il entreprend alors de nouvelles études et se présente au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon. Admis dans la classe de composition de Gilbert Amy, il travaille avec ce dernier durant quatre années et suit également les cours d’analyse musicale de Robert Pascal. En 1995 il obtient le Diplôme National d’Etudes Supérieures de Musique avec les meilleures récompenses en composition, analyse et orchestration.
Lauréat de plusieurs concours internationaux de composition dont le Prix “Reine Marie José“ à Genève en 1996, avec l’œuvre “Quatre poèmes de Jacques Dupin”, Jean-Jacques Di Tucci a reçu diverses commandes d’Etat, essentiellement pour orchestre. De 2001 à 2002 il est invité par l’Orchestre National de Montpellier en qualité de compositeur en résidence. Deux pièces naîtront de cette collaboration : Sirius et Rivages I.
En 2003 l’Orchestre Philharmonique de Radio France lui commande Rivages II, œuvre créée l'année suivante à Paris et Amsterdam (Concertgebouw) sous la direction Myung-Whun Chung. Cette composition a été recommandée lors de la 51e Tribune Internationale des Compositeurs (UNESCO, Paris 2004).
Les œuvres de Jean-Jacques Di Tucci ont été jouées par de nombreux orchestres tels l’Orchestre National de France, l'Orchestre Philharmonique de Radio France, le National Symphony Orchestra de Washington, l'Orchestre Symphonique de Shanghai, les orchestres nationaux français de Bordeaux, Lille, Strasbourg, Montpellier, ainsi que l’Ensemble Intercontemporain.
Au cours de la saison 2007 on pourra entendre notamment une nouvelle œuvre : “Wài Xíng” pour erhu (violon chinois) et orchestre symphonique (Festival de Shanghai : mai 2007).
Ses œuvres sont publiées pour la plupart aux éditions Billaudot.
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Dondeyne
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Henri Dutilleux (1916)
L'un de ses grands-pères, Constant Dutilleux est peintre et un ami de Delacroix et de Corot. Julien Koszul (1844-1927), grand-père maternel est compositeur et organiste, et un ami de Gabriel Fauré. Il est directeur du Conservatoire de musique de Roubaix, où il a Roussel comme élève.
Réfugiée en Maine et Loire pendant le Première guerre mondiale, sa famille retourne à Douai après l'armistice.
Il suit les cours de Victor Gallois au Conservatoire de Douai. En 1933 il entre au Conservatoire de Paris où il obtient le premier prix d'harmonie en 1935 dans la classe de Jean Gallon. En 1936, dans la classe de Noël Gallon il emporte de premier prix de contrepoint et de fugue.
Il suit les cours d'histoire de la musique de Maurice Emmanuel, ceux de direction d'orchestre avec Philippe Gaubert et de composition avec Henri Büsser.
En 1938, il obtient un second prix de composition et le Premier Grand prix de Rome avec la cantate l' Anneau du Roi.
A cause de la guerre, il ne séjourne que quatre mois à la Villa Médicis de Rome. En 1941, Claude Delvincourt crée une Sarabande aux Concerts Pasdeloup. En 1942 il crée ses Quatre Mélodies et sa Danse fantastique pour orchestre. La même année il est nommé chef de chant à l'Opéra de Paris.
Pendant la guerre il étudie le traité de composition de Vincent d'Indy, et découvre les musiques de Stravinsky et de Roussel. Mais il n'adhère ni au sérialisme ni à la musique de Bartok.
En 1943 il crée la Sonatine pour flûte et piano, et jusqu'en 1944 il est chef de chant à la Radio. Il crée La Geôle, mélodie avec orchestre sur un poème de Jean Cassou.
De 1945 à 1963 il est responsable du service des illustrations musicales à le Radio. Il compose de nombreuses pièces destinées à la radio qu'il refusera de publier, ne voulant pas les sortir de leur contexte initial.
Il épouse en 1946, la pianiste Geneviève Joy, pour laquelle il compose ses œuvres pour piano.
En 1951, Roger Désormière crée sa Première symphonie à la tête de l'Orchestre national. Roland Petit crée en 1953 la ballet Le Loup sur un argument de Jean Anouilh et Georges Neveux. En 1954, il crée les Trois Sonnets de Jean Cassou, pour baryton et orchestre, et Charles Münch crée sa Seconde symphonie avec l'Orchestre symphonique de Boston qui fête son 75e anniversaire.
En 1961 il est appelé Alfred Cortot à la classe de composition de l'École normale de musique.
En 1965, Pour le 40e anniversaire de l'Orchestre de Cleveland, George Szell dirige ses Métaboles. La même année une maladie des yeux le force à ralentir sa production. En 1966 il donne des conférences eu Liban.
Il reçoit en 1967 le Grand prix national de la musique pour l'ensemble de son œuvre.
En 1970, Mstislav Rostropovitch crée Tout un monde lointain... pour violoncelle et orchestre. La même année il est nommé professeur au conservatoire de Paris, poste qu'il quitte en 1984. Il est plusieurs années durant secrétaire de la section française de la Société internationale de musique contemporaine (S.I.M.C.). Il est souvent invité à enseigner dans des cours d'été.
En 1973 il est membre associé de l’Académie Royale de Belgique, en 1981, membre honoraire de l’American Academy and Institute of Arts and Letters de New York. La même année il donne des conférences au Royal College de Londres.
En 1982 il est au Japon et en Corée où il donne des conférences aux Universités de Tokyo, de Kyoto et de Séoul.
Il reçoit en 1983 le Grand Prix international du Disque à Montreux. L'année suivante il donne des cours au Conservatoire de Genève (1984)
En 1985 Lorin Maazel crée l' Arbre des Songes, concerto pour violon et orchestre au Théâtre des Champs-Elysées
En 1987, reçoit le Prix International Maurice Ravel et le Prix du Conseil International de la Musique, il intervient à l'Académie Sibelius à Helsinki et à la Juilliard School de New York.
En 1989, il donne à Zurich le Mystère de l'instant, en 1991, au Festival de Besançon, les Citations.
En 1993 il est reçu membre membre honoraire de l’Academia Nazionale Santa Cecilia, en 1994 il reçoit au Japon le Prix Praemium Imperial. En 1995, il est en résidence au Tanglewood Music Center. En 1996 il est reçu membre de la Royal Academy of Music de Londres. En 1997, Seiji Ozawa crée à Boston The Shadow of Time. qui est récompensé en 1998 par le «Royal Philharmonic Society Awards». La même année il devient membre de la «Bayerishe Akademie der Schönen Künste» de Munich. La même année il est de nouveau en en résidence au Tanglewood Music Center. En 1999 il reçoit le grand prix international de la critique musicale.
Le Prix international Ernst von Siemens lui a été attribué en janvier 2005.
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Bechara El-Khoury
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Maurice Faillenot
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Bruno Feugere
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Graciane Finzi
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Site internet de Graciane Finzi : http://www.graciane-finzi.com
Patrice Fouillaud
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Alain Fourchotte
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Nicolas Frize
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Anthony Girard
Anthony Girard, né en 1959 à New-York, a suivi des études au Conservatoire National de Musique de Paris, où il obtient de 1980 à 1986 cinq Premiers Prix (harmonie, contrepoint, analyse, orchestration, et composition), et à l’Université de la Sorbonne (DEA d’Histoire de la musique en 1985).
Ses premières compositions lui ouvrent les portes de la Casa de Velàsquez, où il séjourne de 1986 à 1988. Lauréat du Concours International de Besançon en 1988, la Prix Paul Belmondo de l’Académie des Beaux-Arts lui est décerné en 1992, et en 2001 il reçoit le Grand Prix Lycéen des compositeurs.
Ses œuvres pour orchestre ont fait l’objet de deux enregistrements monographiques par l’Orchestre Bernard Calmel en 1997 et en 2000.
Anthony Girard occupe une place un peu à part dans la production musicale contemporaine. Son univers stylistique peut être résumé par quelques mots : l’élan, le rêve, la joie, le mystère, la paix intérieure... mais aussi parfois l’ironie, l’inquiétude, l’effroi. La poésie et le mysticisme ont déterminé et accompagné l’évolution de son langage. Ainsi, sans pour autant exclure les influences stylistiques proprement musicales, l’école française moderne, le chant grégorien et l’enfance de la polyphonie, la musique de l’Inde ou le minimalisme, c’est à travers des rencontres et des affinités littéraires et spirituelles qu’il faut chercher les clés de son parcours.
Son catalogue comprend près de cent compositions, d’où ressortent les œuvres pour chœur et orchestre (Croix de lumière, Requiem “Come lovely and soothing death”, Soleil d’Akhenaton, Chants d’exil ), celles pour orchestre symphonique (Les âmes perdues, 24 Préludes, Deux prières pour la fin de la guerre, À ciel ouvert), pour orchestre de chambre (Double Concerto pour violoncelle et piano, Comme une étoile du matin, pour orchestre à cordes, La voix lointaine d’Eurydice, “Opéra sans voix” pour huit instrumentistes et une danseuse) et de nombreuses compositions de musique de chambre vocale et instrumentale.
Il a collaboré avec de nombreux orchestres, chœurs, ensembles et solistes : l’Ensemble Orchestral de Paris (commande de Musique Nouvelle en Liberté en 1992), l’Orchestre philarmonique de Radio France, direction Kyrill Karabits (commande de Radio France pour Alla breve), le chœur et l’orchestre du Théatre des Arts de Rouen, direction Frédéric Chaslain, le chœur Vittoria d’Ile de France, direction Michel Piquemal (commande de l’Evéché d’Evry pour l’inauguration de la Cathédrale Notre-dame de la Résurrection en 1996), l’ Orchestre Bernard Calmel (plusieurs créations et deux CD monographiques), l’orchestre Musica viva de Moscou, direction Alexandre Roudine, l’Orchestre de la Cité internationale universitaire de Paris, direction Adrian Mc Donnell, l’Orchestre Amadeus de l’Union des Compositeurs de Moscou, direction Freddy Cadena, l’ensemble Carpe Diem, l’Orchestre du CNR de Rouen, direction Olivier Holt, l’Ensemble Musicatreize (commande du festival Octobre en Normandie), l’Ensemble Phœnix (commande de l’Auditorium du Louvre), l’Orchestre de chambre de Toulouse, l’Orchestre Symphonique Français, direction Laurent Petitgirard, l’Ensemble Musique Oblique, l’Ensemble Métamorphosis, l’ensemble de cuivres Sur Mesure, direction Fabrice Colas, le Sextuor Opus 62, le quatuor Arpeggione, le trio Cappa, la soprano Françoise Masset, la mezzo Roselyne Cyrille, les violonistes Elena Denisova, Hubert Chachereau, Rodion Zamuruyev et Alexis Moschkov, les altistes Liviù Stanese et Alain Tressalet, les violoncellistes Sergeï Sudzilovski et Jean-Luc Bourré, les flûtistes Kouchyar Sharoudy, Marine Perez et Patricia Nagle, les hautboïstes Daniel Arrignon et Jean- Pierre Arnaud, les clarinettiste Philippe Cuper, Florent Héaut et Alexandre Chabod, le corniste Daniel Catalanotti, le tubiste Ivan Milhiet, les harpistes Marielle Nordmann et Sabine Chefson, le guitariste Alain Rizoul, l’organiste Pascale Rouet, les pianistes André Diev, Aurélien Richard et Geneviève Girard...
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Suzanne Giraud
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Site internet de Suzanne Giraud : http://www.suzannegiraud.com
Olivier Greif (1950 - 2000)
Né à Paris, le 3 janvier 1950, Olivier Greif accomplit des études musicales précoces. D’abord initié par Lucette Descaves et Yvonne Desportes, il entre au Conservatoire national supérieur de musique de Paris à dix ans. Il y est l’élève de Marcel Bitsch (solfège), Lucette Descaves (piano), Geneviève Joy (déchiffrage), Jean Hubeau (musique de chambre), Tony Aubin (composition, prix en 1967), Robert Blot (direction d’orchestre) et Marius Constant (orchestration).
En 1969, il part pour les États-Unis. À New York, il complète ses études de composition auprès de Luciano Berio, alors professeur à la Juilliard School. L’année suivante, il est son assistant pour la création de son œuvre Opera à l’Opéra de Santa Fé au Nouveau-Mexique.
Sa double carrière de compositeur et de pianiste concertiste l’amène à se produire dans de nombreux pays d’Europe ainsi qu’aux États-Unis et au Japon.
Durant les années 1970, Olivier Greif enseigne la composition, l’analyse et la musique de chambre à l’Académie-Festival des Arcs, dont il assurera la direction artistique de 1983 à 1986. En 1978 et 1979, il enseigne également à Annecy dans le cadre des Pâques musicales. L’Opéra de Paris lui commande alors l’opéra de chambre Nô qui est créé en 1981 au Centre Georges Pompidou en co-production avec l’Ircam et le Festival d’Automne.
En 1976, il s’engage dans une recherche spirituelle qui durera plus de 20 ans. Cette démarche le conduit à suspendre sa création musicale pendant une dizaine d’années, à l’exception de nombreux arrangements polyphoniques sur des chants dévotionnels indiens.
À partir de 1990, il reprend peu à peu sa carrière de pianiste concertiste et son activité de compositeur, avec une intensité croissante jusqu’à sa mort survenue subitement le 13 mai 2000 à Paris.
Cette période a été marquée par d’importantes commandes de Radio France et de différents festivals étrangers ou français (Kuhmo, Varsovie, Berlin, Deauville, Cordes-sur-Ciel, La Prée) et de nombreux engagements en tant qu’interprète. Profond et brillant, il était aussi un conférencier recherché et l’invité privilégié d’émissions radiophoniques.
Olivier Greif laisse plus d’une centaine de partitions, répertoriées à partir de 1961 (il avait alors onze ans). Il a composé avec prédilection des œuvres pour piano seul (dont la Sonate dans le goût ancien, la Sonate de guerre et les Portraits et Apparitions), pour voix et piano (dont la Petite Cantate de chambre, le vaste cycle des Chants de l’âme et les Chansons apocryphes). On lui doit par ailleurs des sonates pour violon et piano, des pièces pour violoncelle et piano (en particulier la Sonate de requiem), la Sonate pour deux violoncelles « The Battle of Agincourt », le Trio avec piano, quatre quatuors à cordes (dont deux avec voix), le Quintette avec piano « A tale of the world », le Sextuor « Ich ruf zu Dir », la Symphonie avec baryton, le Concerto pour violoncelle « Durch Adams Fall », le Quadruple Concerto « La Danse des morts ». Parmi les œuvres pour voix et ensembles instrumentaux, on note Le Livre du pèlerin, l’opéra de chambre Nô, les Hymnes spéculatifs, L’Office des naufragés. Le Requiem pour double chœur a cappella vient clore cette intense production.
Son œuvre brasse un foisonnement d’idées originales et de réminiscences religieuses (cantillation hébraïque ou grégorienne, chorals luthériens, hymnes anglicans) ou profanes (mélodies de tous pays et de tous temps), déployées dans un entrelacs polyphonique.
Quelques partitions d’Olivier Greif ont été éditées de son vivant chez Leduc, Heugel, Durand, Eschig ou Salabert. Un ensemble beaucoup plus important a paru aux éditions Hapax en 2000-2001. Depuis la fin 2004, avec l’aide du Fonds d’action Sacem, un nouvel élan éditorial est donné avec Symétrie à Lyon.
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Site internet de Olivier Greif : http://www.oliviergreif.com
Lucien Guérinel
Né à Grasse le 16 août 1930, il apprend la musique par des approches privées et personnelles à côté d’études universitaires à Marseille. Se fixant à Paris en 1954, il y étudie l’harmonie avec André Jouve et reçoit les conseils du compositeur Louis Saguer, se liant d’amitié avec l’un comme avec l’autre.
Il retourne à Marseille en 1962 à la suite d’une maladie. Il y restera jusqu’en 2002.
Son catalogue comporte plus de 110 œuvres.
Il obtient le 2d prix du concours de composition de la Fondation Philip Morris à Paris en 1983 pour son 2d quatuor « Strophe 21 » ; il est finaliste du concours « Rendez-vous du piano en Creuse » en 1990 (« Chants,Espaces » pour 2 pianos) et en 1994 (« Songe,Mouvement » pour un piano).
L’enregistrement d’œuvres vocales (Lyrinx) par Musicatreize, direction Roland Hayrabedian, a obtenu un « Choc » du « Monde de la Musique », un « Disque de l’année » des Editions Marabout, 5 diapasons de « Diapason », ses interprètes ayant été eux-mêmes nominés aux « Victoires de la Musique 1997 ».
Il a obtenu des commandes pour : « Le mariage forcé » (Centenaire du Conservatoire de Marseille), « 4 préludes pour petit ensemble » (Comm.pédagogique d'Etat), « Fragmentaires » (Quatuor de clarinettes de Paris), « Correspondances III » (Ensemble Orchestral de Marseille), « 24 préludes pour Nolde » (Groupe de Musique Expérimentale de Marseille), « Prendre corps » , 4ème quatuor avec deux voix (La Petite Compagnie), Musiques de scène pour « Oedipe » et « Antigone » de Sophocle, puis pour « Hécube » d'Euripide (Théâtre Gyptis à Marseille), « Eros de Swinburne » (Nouvel Ensemble Contemporain de Rouen), « Naissance de l'aube » (Résonance Contemporaine et Amitiés Franco-Genevoises), « Vêpres » pour orgue (Cathédrale de Marseille), « Les yeux de l'amour et du hasard » (CNIPAL), « Tu ris avec le vent » (Ville d'Elancourt), « Petite musique de jour » (Amis du cor d'Avignon), « Quatre chants pour un Visage » (Musicatreize), « Avec l'heure pure » (Festival d'Ambronay), « Trio n.2 » (Art et Culture à Saint-Paul), « En un jardin secret » (Musicatreize), « Regards » (Résonance Contemporaine), « Autre chose que le jour »(Institut des Instruments à Vent Français), « Rives effleurées » (Ensemble Philidor), « Le déjeuner de soleil » (Percussionnistes de l'Opéra-Bastille), « Shitao » (Radio-France), « Tout s'achève, tout commence » (Concours de chant « Les Symphonies d'Automne » de Mâcon).
Il a publié quatre recueils de poèmes, « La parole échouée » (1969), « La sentence nue » (1972), aux Editions Guy Chambelland, « Acte de présence » (1997) aux Ateliers Populaires de Paris, « Nuptiales » (2OO4) en co-édition avec le photographe Philippe Le Bihan. Invité aux Vingt-Troisièmes Assises de la Traduction littéraire d’Arles (2006), autour de son œuvre vocale.
Discographie :
Contre-Chant, Soleil ployé, Ce chant de brume, Strophe 21, -- Devy Erlih, Geneviève Teulières, Philippe Bender, Quatuor Razumowsky de Paris – (Lyrinx)
Œuvres vocales – Musicatreize, dir. Roland Hayrabedian – (Lyrinx)
Six Bagatelles – Quintette à vent de Marseille – (in De Plein Jeu, Bruxelles)
Musique pour claviers – Philippe Gueit, Vladimir Pleshakov et Elaina Winther, Jean-Marc Aymes, Frédéric Daumas – (L’empreinte Digitale)
Sept Rubâ’iyât de Omar Khayyâm – Marie Prost, Trio Besozzi – (in Mandala)
Inscription pour Maurice Ohana –Joël Rigal et Anne-Marie Ghirardelli – (in De plein vent)
Editeurs : Jobert, Gérard Billaudot, Symétrie (Lyon), De Plein Vent (Vals-les-Bains).
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Jean-Paul Holstein
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Pierre Jansen
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Betsy Jolas (1926)
Lauréate du Concours International de Direction d'orchestre de Besançon (1953), elle a reçu de nombreux prix dont celui de la Fondation Copley de Chicago (1954), de l'O.R.T.F. (1961), de I'American Academy of Arts (1973), de la Fondation Koussevitsky (1974), le Grand Prix National de la Musique (1974), le Grand Prix de la Ville de Paris (1981) et le grand Prix de la SACEM (1982). Betsy Jolas a été nommée en 1983 membre de I'Académie américaine, des Arts et Lettres.
En 1985, elle a été élevée au grade de Commandeur des Arts et des Lettres. En 1992, elle a reçu le Prix International Maurice Ravel et a été désignée "Personnalité de l'année" pour la France. En 1994, elle a reçu le Prix SACEM de la meilleure création de l'année pour son œvre "Frauenleben ". Elle a été élue Membre de I'Académie Américaine des Arts et Sciences en 1995. En 1997, elle est nommée Chevalier de la Légion d'honneur.De 1971 A 1974, Betsy Jolas a remplacé Olivier Messiaen à sa classe du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où elle a été nommée professeur d'analyse en 1975 et professeur de composition en 1978.
Elle a enseigné également dans les universités américaines de Yale, Harvard, Berkeley, USC, San Diego, etc., ainsi qu'à Mills College (chaire Darius Milhaud).Ses œuvres, pour les formations les plus diverses, ont été créées notamment au Domaine Musical, aux Festivals de Tanglewood, de Hollande et de Royan et sont jouées aujourd'hui dans le monde entier par des artistes de premier plan
tels que
Elisabeth Chojnacka, Kent Nagano, William Christie, Claude Helffer, Kim Kashkashian... et par des groupes de réputation internationale tels que "The Boston Symphony Chamber Players", la "London Sinfonietta", la "Lincoln Center Chamber Music Society", le "Concord Quartet", les "Percussions de Strasbourg", le Domaine Musical, I'Ensemble Intercontemporain, l'Orchestre Philharmonia, etc. Douze d'entre elles ont fait l'objet d'enregistrements discographiques chez EMI, Adès, Erato, Barclay, CRI, couronnés par plusieurs grands prix du disque.
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Site internet de Betsy Jolas : http://www.betsyjolas.com
Noël Lee
Pianiste et compositeur d’origine américane, Noël Lee réside à Paris depuis 1948. Ses compositions, embrassant tous les genres—de l’oratorio a la musique de chambre, en passant par le concerto, le ballet, la mélodie (environ 80), et la musique de piano, de clavecin, d’orgue—lui ont valu de nombreuses distinctions. Il a reçu notament le prix de l’Académie Américane de Arts et Lettres pour l’ensemble de son œuvre, puis deux prix de la Fondation de France : Concours Arthur Honegger et de la Fondation Charles Oulmont. Claude Rostand a pu écrire: «…des ouvrages dont la qualité fait regretter que l’activité pianistique du musicien soit au détriment de son activité créatice. »
Sa carrière pianistique, poursuivie depuis les années 40, l’a mené sur tous les continents. Parmi les 200 disques compacts ou microsillons qu’il a enregistrés—de piano, de musique de chambre, de musique vocale, dont quatorze couronnés de prix—figurent la première vraie intégrale des Sonates de Schubert (comprenant les œuvres inachevées), toute l’œuvre pour piano de Debussy et de Ravel, vingt-cinq disques consacrés à la musique américaine et à celle du XXème siècle où figurent Charles Ives, Aaron Copland, Igor Stravinsky, Béla Bartok, autant enregistrés à quatre mains ou à deux pianos avec Charles Ivaldi ainsi que de nombreux disques piano-violon de Schubert et de musique française avec Gérald Poulet. Ses enregistrements avec Bernard Kruysen ainsi qu’avec Anne-Marie Rodde sont devenus des références pour le répertoire de mélodie.
Nadia Boulanger a écrit a son sujet : « Noël Lee est un des plus beaux musiciens que j’aie rencontrés. Compositeur d’une réelle personnalité, il a la délicatesse et la force, la perception aiguë des ressources de son instrument, le sens de la hiérarchie des valeurs et une compréhension totale des œuvres. »
Au printemps 1998, Lee a été nommé au grade de « Commandeur de’Ordre des Arts et Lettres » par le Ministère des Affaires Culturelles; puis il a reçu le Grand Prix de la Musique de la Ville de Paris en 1999 pour l’ensemble de son activité. En 2002 son édition de huit œuvres de jeunesse de Claude Debussy pour piano à quatre mains, dont cinq publiées pour la première fois, est sortie chez Durand. En 2004 la Grande Médaille de la Ville de Paris lui a été décerné.
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Site internet de Noël Lee : http://www.noel-lee.com
Laurent Lefrançois
Né en 1974 à Caen, Laurent Lefrançois a commencé la musique avec la contrebasse et la basse électrique au C.N.R de cette ville.
Largement autodidacte, il intègre un cursus de piano a l'E.N.M de Lisieux dans la classe de Claude Marodon tout en suivant l'enseignement de Sylvie Huguenin, Bertrand Ott et Gabriella Torma. Parallèlement à ses études de musicologie, il travaille l'analyse au C.N.R de Rouen dans la classe d'Anthony Girard. Arrivé à Paris il rencontre Guillaume Connesson avec qui il étudie l'orchestration et la composition. Il a obtenu un diplôme de composition à l’unanimité à l’Ecole Normale de Musique dans la classe de Michel Merlet.
Laurent Lefrançois a composé pour la voix avec plusieurs Mélodies sur des poèmes de Paul Eluard (1998), pour le piano, Augenblick (2003), pour clarinettes, Trio (2001), pour orchestre, Balnéaire (2002), pour trio à cordes, piano, flûte et clarinette avec Sextuor , Commande de Radio France pour le Festival Présences 2004...
Laurent Lefrançois prépare un sextuor à cordes, commande de Proquartet-CEMC en février 2007 pour la saison Mozart après Mozart.
Il vient d'obtenir Le Prix du Public du concours International Jeunes Compositeurs de Boulogne 2006 avec Approaching a city, œuvre pour hautbois, clarinette et basson.
(Un portrait est disponible dans le numéro de septembre du magazine le nouveau musicien)
Contact mail: lefrancoisl@netcourrier.com
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Edith Lejet
Née en 1941, a été l’élève de Jean Rivier et André Jolivet au Conservatoire de Paris.
Parallèlement, Henri Dutilleux et Maurice Ohana, ont contribué à l’acquisition de sa
compétence professionnelle et à son épanouissement de musicienne.
Outre ses cinq Premiers Prix du Conservatoire, elle a été lauréate de diverses
distinctions (Grand Prix de Rome, Casa de Velazquez, Fondation Bleustein-Blanchet
pour la Vocation, Fondation Copley de Chicago) et plusieurs récompenses lui ont été
décernées par la SACEM ou l’Académie des Beaux-Arts (Prix Florence Gould, Prix
de composition Nadia et Lili Boulanger en 2003).
Elle obtient au Conservatoire de Paris (CNSMDP) un poste de professeur de
Formation Musicale dans le département des disciplines vocales (1972-1987) puis,
après un an d’enseignement de l’orchestration en tant qu’intérimaire, elle est
nommée professeur d’Ecriture Musicale (1988), cadre dans lequel elle est chargée
de lancer une nouvelle classe spécialisée sur la musique du XXème siècle,
notamment les courants modernistes. Ces fonctions successives n’ont fait
qu’accentuer son goût pour la vocalité et le lyrisme, pour les combinaisons
instrumentales raffinées et pour la rigueur de l’écriture. En 2004 elle se voit aussi
confier une classe de Composition à l’Ecole Normale de Musique de Paris.
Ces responsabilités pédagogiques sont de nature à stimuler son élan créateur.
Son catalogue comprend des œuvres très variées mais qui présentent des
constantes profondes. Elle s’affirme dès 1969 avec son « Monodrame » pour violon
et orchestre, commandé par Radio-France et largement diffusé dans le monde, et en
1970 avec le « Journal d’Anne Frank », oratorio écrit pour la Maîtrise de Radio-
France et petit ensemble. Elle a composé une comédie musicale, « L’Homme qui
avait perdu sa voix », des œuvres chorales, « Missa Brevis » pour chœur mixte ou
« Sept Chants Sacrés » pour douze voix de femmes, de la musique pour divers
ensembles instrumentaux, sans oublier un répertoire de musique de chambre fort
éclectique.
Ses œuvres, souvent intuitives, ne se rattachent esthétiquement à aucune école
particulière. Elles se caractérisent par leur concision, un matériau de construction
soigneusement sélectionné et la recherche de justes proportions.
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Site internet de Edith Lejet : http://www.edith-lejet.com
René Maillard (1931)
Élève de Marcel Samuel-Rousseau, Noël-Gallon et Tony Aubin au CNSM de Paris il a obtenu les premiers prix d'Harmonie, Contrepoint et Fugue ainsi que le second Grand Prix de Rome en 1955.
"De 1949 à 1961, René Maillard est l'auteur de 17 œuvres. Après une interruption de plus de quarante ans, il revient à la composition avec une Deuxième Sonate pour alto et piano. Sa musique a été interprétée par des artistes tels que Serge Baudo, Gérard Devos, Louis de Froment et Jean Hubeau et une nouvelle génération d'interprètes est en train de la découvrir, sensible au charme d'un discours tout à la fois dense et clair, relevant d'un classicisme intemporel lequel, de Couperin à Dutilleux en passant par Roussel, a toujours été la marque des grands musiciens français."
Nicolas Bacri.
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Jean-Yves Malmasson
Jean-Yves MALMASSON est né à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) en 1963. Il a commencé ses études musicales au Conservatoire National de Région de Boulogne-Billancourt (solfège, piano, écriture, composition, orgue et ondes Martenot) et les a poursuivies ensuite au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Parmi ses maîtres, citons pour l'écriture et la composition: Alain LOUVIER, Pierre GROUVEL, Serge NIGG et Jacques CHARPENTIER, et pour la direction d'orchestre : Jean-Claude HARTEMANN et Jean-Sébastien BEREAU. En plus de son Premier Prix en Orchestration et Instrumentation au CNSM, Il a remporté en 1984 le Premier prix (SACEM) du Festival des Tombées de la Nuit de Rennes pour Le Chant de Dahut, poème symphonique pour ondes Martenot et orchestre d'après la légende d'Ys la cité engloutie.
Jean-Yves MALMASSON est Directeur musical de l'Orchestre d'Harmonie de la ville de Puteaux depuis 1988 ainsi que Directeur musical de l'Orchestre Symphonique des Yvelines, devenu depuis peu Orchestre Philharmonique des Yvelines et de l’Ouest Francilien, depuis février 2004.
A ce jour, le catalogue de Jean-Yves Malmasson comprend trois Symphonies - la Première étant dédiée à la mémoire de Dimitri Chostakovitch et la Troisième, pour chœur et très grand orchestre, à Claudio Abbado - des mélodies pour chant et piano ou chant et orchestre, un quatuor à cordes (dont l'orchestration pour cordes constitue la Deuxième Symphonie), Le Chant de Dahut pour Ondes Martenot et orchestre, Métapastiches, une suite de pièces burlesques pour orchestre de jeunes, un Concerto Grosso pour ondes Martenot, piano, quatuor de percussions mélodiques et orchestre d'harmonie, une passacaille pour orchestre intitulée Mare Nostrum, des œuvres pour orchestre à cordes ou divers ensembles instrumentaux comme la Sonatine Entomologique composée pour le Quintette Prokofiev (quatre bois et percussion).
Jean-Yves Malmasson a arrangé et orchestré en 2000 trois chansons d'Edith Piaf pour la grande soprano Françoise Pollet et l'Orchestre Symphonique de Mulhouse; son Trio opus 29, 5 aphorismes in memoriam D. D. Chostakovitch a été diffusé en première audition sur France-Musiques en septembre 2001, créé en public à Paris l’année suivante par le Trio Daphnis et repris en 2005 dans le cadre des concerts Cantus Formus.
Jean-Yves Malmasson revendique une totale liberté de créateur, hors de tout courant, de toute école ou doctrine. Sa production est variée tant dans les styles que dans les genres abordés et comprend aussi bien des œuvres "sérieuses" que des pièces d'inspiration plus légère ou humoristique. Son langage est principalement "tonal" (au sens le plus large du terme) mais il ne s'interdit aucun moyen permettant l'expression poétique qui est sa quête essentielle.
Les partitions de Jean-Yves MALMASSON sont éditées par Musik-Fabrik (Lagny-sur-Marne).
"...l'inclassable et iconoclaste Jean-Yves Malmasson..."
20 Minutes, Paris, France
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Site internet de Jean-Yves Malmasson : http://jymalmasson.fr
Photo : Guy Vivien
Patrick Marcland
Patrick Marcland est né en 1944 à Paris. Alors qu’il pratique le Jazz, il
entreprend des études d'écriture et de guitare classique (avec Alberto Ponce) à
l'Ecole Normale de Musique de Paris, puis compose pour le théâtre et le cinéma.
Il travaille aussi comme assistant-réalisateur de cinéma et musicien d'une
compagnie théâtrale avant de suivre les cours de composition de Max Deutsch, de
direction d’orchestre d’Henrik Bruun et ceux de Claude Ballif au Conservatoire
de Paris. Il a reçu le Prix Georges Enesco et de nombreuses commandes de
l’Etat, de Radio France, des ensembles Itinéraire, Intercontemporain, Groupe
Vocal de France, Musicatreize, etc….
Influencé dans ses premières œuvres pour le concert par le sérialisme boulézien
(Mètres en 1972, Variants en 1974), il s’en éloigne assez tôt pour s’orienter,
avec ses œuvres Failles (78) et Versets (79), vers un système d'écriture
original revalorisant la notion de "métrique" et associant modalité et polarité
tonale, dont le souvenir du jazz n'est par ailleurs jamais totalement absent.
Il a composé à plusieurs reprises pour l’Ensemble Intercontemporain (Versets,
en 1979, Etude, pour 6 instruments en 1995, De Temps en Temps, pour alto et
ensemble, en 1996, puis Eclipsis en 2004), pour les Percussions de Strasbourg
(Mots croisés en 1999) et pour la Philharmonie de Lorraine (Maldoror, d’après
Lautréamont, pour un comédien, chœur d'enfants, chœur d'adultes et orchestre,
en 1997, oeuvre reprise par l’Orchestre National de France pour l’ouverture du
Festival Présences de Radio France en février 2001.
Préconisant une approche « vivante » de la musique, il s’attache depuis
longtemps à la manière dont celle-ci peut-être mise en scène. C’est dans cet
esprit qu’il a écrit plusieurs partitions originales pour la danse, impliquant
toujours des musiciens ou chanteurs présents sur scène. Notamment avec Nadine
Hernu : Etude en 1995 (en coproduction avec l’ Ensemble Intercontemporain) et
Sanguine en 1997, puis avec Susan Buirge : Le Jour d’avant en 1999 (en
coproduction avec l’Ircam et la Maîtrise de Radio France) et Le Jour d’après,
créée en mai 2000 à l’Arsenal de Metz. Enfin, en 2002, Walk pour une violoniste
et une danseuse, sur une chorégraphie de Laurence Marthouret.
Il a terminé en juillet 2003 Chant de l’Olympe, grande fresque
électro-acoustique réalisée avec la collaboration de Gualtiero Dazzi, destinée
à une diffusion octophonique et qui a fait l’objet d’un CD sous le label Quai
des Arts. En mars 2004, Eclipsis, pour Alto et trompette, avec électronique, a
été créé au Centre Pompidou à Paris par Christophe Desjardins et J.J.Gaudon de
l’Ensemble Intercontemporain. Cette pièce donnera naissance à une large
« extension » de cette œuvre, Eclipsis déployé, pour 6 musiciens et
électronique, commandée par l’Ircam.
Après une résidence à Reims en 2005, où il crée Rythmes d’auprès pour un
comédien et flûte basse, il débute en septembre 2005 une résidence à Marseille
avec l’Ensemble Musicatreize pour une série de pièces vocales, Vers... pour 12
voix mixtes, créées en 2006. Il travaille actuellement à la réalisation d’une
grande fresque électro-acoustique destinée à sonoriser le fac-simile d’une
frise sculptée magdalénienne. Parmi ses projets à court terme figurent deux
pièces chorégraphiques, Monade et Meltem, avec la chorégraphe Laurence
Marthouret, et une oeuvre pour mezzo-soprano et ensemble qui lui est commandée
par l’Ensemble TM+.
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Jean-Louis Martinet
La biographie de ce compositeur ne nous a pas encore été communiquée...
Benoît Menut
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Michel Merlet (1939)
Né à St Brieuc. Etudes au CNSMP où il obtient les prix de clavecin, musique de chambre, contrepoint, fugue, composition et analyse musicale (dans la classe d'Olivier Messiaen).
Grand Prix de Rome (1996). 1er Grand prix international de la Guilde du disque (1965). 1er Grand prix Pineau-Chaillou (1966). Prix Jacques Durand (1974). Prix Chartier (1976). Prix Stéphane Chapelier. SACEM (1977). Prix international de Naples (1987).
Ses ouvrages sont édités par Billaudot, Choudens, E.F.M., Heugel, Leduc, Transatlantique, Van de Velde, Zurfluh...
De nombreux chefs d'orchestre et virtuoses (Y.Chiffoleau, P.Devoyon, P.Dervaux, J.Fournet, P.Gallois, A.Gastinel, E.Heidsieck, J.J.Kantorow, A.Moglia, P.Muller, J.C.Pennetier, R.Pidoux, P.Rogé, J.Rouvier, E.Strosser, J.J.Werner...) ont fait connaître sa littérature en France et à l'étranger (Afrique du Sud, Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Brésil, Canada, Chine, Ecosse, Espagne, Grèce, Hollande, Italie, Japon, Namibie, Philippines, Pologne, Russie, Suisse, Tchéquie, U.S.A., Taiwan, Vénézuela...).
En 1979, chargé par le professeur Ikenouchi d'enseigner à l'Académie Internationale Franco-Japonaise.
En 1985, mission pédagogique en Chine (Pékin-Shanghai).
En 1995, invité en Grèce, par le conservatoire Naka, pour enseigner la composition et l'orchestration à Athènes.
En 2001, engagé par l'European American Musical Alliance, INC, pour des masters classes destinées aux étudiants de différentes universités Américaines dont la Juilliard School de New York.
Membre des jurys de nombreux concours internationaux, dont le concours M.Long.
Enseigne l'écriture musicale au C.N.S.M.P. depuis 1978 et la composition à l'E.N.M.P. depuis 1988.
Michel Merlet est Chevalier des Arts et Lettres.
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Serge Nigg (1924)
Serge Nigg est né le 6 juin 1924 à Paris. Il entre à 17 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (1941) dans la Classe d'Olivier Messiaen pour l'harmonie, puis dans celle de Simone Plé-Caussade pour le contrepoint et la fugue.
Il en sort en 1945 et rencontre René Leibowitz qui l'initie à la technique dodécaphonique. Mais, dès 1943, ses premiers ouvrages sont exécutés en concert ainsi, le Concerto pour piano et instruments à vent, le Concerto pour piano et orchestre à cordes (concerts de "La Pléiades" avec l'Orchestre National au Théâtre des Champs-Elysées), la 1ère sonate pour piano. Alors qu'il n'a que 19 ans, sa première œuvre d'orchestre est exécutée par l'Orchestre National (sous la direction de R Désormière, 1944) : c'est le poème symphonique Timour.
Il écrit en 1946 ce qui peut être considéré comme la première œuvre rigoureusement dodécaphonique conçue en France : les Variations pour piano et 10 instruments que l'auteur joue lui-même en soliste au cours du 1er Festival International de Musique dodécaphonique organisé à Paris en 1947 par R. Leibowitz. L'œuvre est reprise à Londres, Bruxelles, au Festival de la S.I.M.C. à Palerme, en 1949.
Puis viennent les Quatre mélodies sur des poèmes de Paul Eluard, le ballet Billard commandé par le Holland-Festival et créé en 1950 à l'Opéra d'Amsterdam, le poème symphonique Pour un poète captif (création au Festival du Mai de Prague, par la Philharmonie de Prague, direction Karel Ancerl, 1951).
N'éprouvant nul goût pour les recherches purement abstraites et formelles, il s'éloigne dès 1950 de la technique sérielle qui a tendance, chez les jeunes musiciens de l'époque, à dessécher et à stériliser l'inspiration.
Certaines œuvres peuvent être considérées comme une réaction vive contre des règles trop étroites :
- Le 1er Concerto pour piano et orchestre (1954) créé au Théâtre des Champs-Elysées par l'Orchestre National (direction A. Cluytens avec P. Barbizet en soliste) et repris notamment à Strasbourg, Marseille, au Festival de Vichy, à Prague, aux Concerts Lamoureux, etc. (Grand Prix du Disque de l'Académie Charles Cros - 1957).
- Le Concerto pour violon et orchestrecréé au Théâtre des Champs-Elysées par son dédicataire Christian Ferras et l'Orchestre National en 1960. De nombreuses exécutions en seront données par C. Ferras, notamment au Festival de Besançon, à Rome, Paris, Strasbourg, Minneapolis, New York (au Carnegie Hall), Genève, Lausanne, etc... (Grand Prix du Disque 1967).
- Le Concerto pour flûte et orchestre à cordes créé par son dédicataire J.P Rampal au Festival de Vichy en 1960).
Vers les années 60 s'amorce une nouvelle période se caractérisant par une technique dodécaphonique retrouvée, mais de laquelle toute sécheresse, tout systématisme semblent devoir être exclus. C'est cette période d'équilibre où les problèmes de la "langue musicale", du vocabulaire, de la syntaxe paraissent en voie de résolution qui voit naître les œuvres de "maturité" : La Jérôme Bosch Symphonie, inspirée par le triptyque du peintre hollandais : Le jardin des délices terrestres. Commandée par le Festival de Strasbourg, l'œuvre y est exécutée en 1960. Elle sera reprise notamment à Baden-Baden, Paris, Bruxelles, Strasbourg. Le Grand Prix du Disque couronnera son enregistrement (Académie du Disque Français).
En 1961, le fameux groupe : "les Percussions de Strasbourg" est fondé dans la capitale de l'Alsace par six instrumentistes exceptionnels. A cette occasion et pour son premier concert public, la Radio commande à Serge Nigg, un ouvrage destiné à mettre en relief la virtuosité de l'Ensemble. Ainsi voit le jour : Histoire d'œuf, conte musical tiré de l'Anthologie nègre de Blaise Cendrars, écrit pour six percussionnistes, deux récitants, piano et célesta. L'œuvre sera diffusée dans de très nombreux pays, et traduite en plusieurs langues (anglais, finlandais, serbo-croate pour des exécutions au Festival de Zagreb, en allemand pour les Radios de Berlin, Hambourg, Francfort, Cologne, Sarrebruck).
Commande du Festival de Strasbourg, Le chant du Dépossédé, pour baryton, récitant et orchestre, est conçu à partir de "notes poétiques" de Stéphane Mallarmé (publiées sous le titre Pour un Tombeau d'Anatole, en 1961). Elles furent inspirées au poète par la mort de son fils emporté par la maladie à l'âge de huit ans, en 1879. L'œuvre a été créée à Strasbourg en juin 1964. L'enregistrement est couronné par l'Académie du Disque Français.
Visages d'Axël, ouvrage symphonique en deux parties, est composé entre 1965 et 1967. Commande du Festival de Besançon, il est créé dans cette ville le 4 septembre 1967 par Antal Dorati. Il connaîtra de nombreuses exécutions à Paris, Luxembourg, Palerme, Hanovre, Oslo, Québec, Katowice, au Festival de Mexico, au Festival de Graz, à Strasbourg, Reims, Toulouse, à la Philharmonie de Leningrad, Lyon, Nantes, Angers, etc...
L'enregistrement recevra deux fois le Grand Prix du Disque : à l'Académie Charles Cros, et à l'Académie du Disque Français.
Fulgur, commande de l'Etat, est créé à Paris, par Charles Bruck à la tête de l'Orchestre Philharmonique de la Radio. L'œuvre est inspirée du livre d'Antonin Artaud Héliogabale ou l'anarchiste couronné. Après Paris, elle est reprise à Sydney et Melbourne. Jean Martinon en donne une version télévisée en France, avec l'Orchestre National, puis l'emmène en tournée en Pologne avec le même orchestre. J.C Casadesus la dirige à la Philharmonie de Moscou, puis à celle de Riga en novembre 1970. Après l'Orchestre Philharmonique des Pays de Loire (Nantes et Angers) dirigé par ce dernier chef, Michel Plasson reprend l'œuvre à Toulouse.
Parmi les œuvres qui vont suivre, retenons :
Le 2ème concerto pour piano et orchestre, commande du Festival de Strasbourg, créé en cette ville, avec le pianiste Bernard Flavigny en 1971. La création parisienne a lieu en 1973, avec l'Orchestre National, direction : K. Masur, et la pianiste M. Haas.
Les Fastes de l'imaginaire, ouvrage symphonique commandé par Serge Baudo, à l'occasion de la présentation au Théâtre des Champs-Elysées de l'Orchestre Philharmonique de Lyon, en 1974.
Mirrors for William Blake, symphonie avec piano, dont le Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio-France donne la première exécution sous la direction de G. Amy, avec l'auteur en soliste, à la Maison de la Radio, en 1979.
A l'occasion d'une grande tournée aux U.S.A entreprise par Michel Plasson en 1981, ce chef commande à Serge Nigg une œuvre symphonique : ce sera Million d'oiseaux d'or (titre emprunté à A. Rimbaud) dont la première mondiale aura lieu au Symphony-Hall de Boston. L'ouvrage aura dix exécutions dans les grandes villes des Etats-Unis dont Washington (au Kennedy Center) et New-York, (au Carnegie-Hall). Michel Plasson la dirigera à nouveau, à la fin de la même année, à la tête de l'Orchestre de Paris.
Citons parmi les ouvrages composés depuis :
le Quatuor à cordes enregistré par le Quatuor Enesco, qui obtient en 1989 le Grand prix du Disque de l'Académie du Disque Français : "Grand Lauréat" pour la musique de chambre.
La 3ème Sonate pour piano.
Du clair au sombre, un cycle vocal pour Soprano et Orchestre de chambre sur des poèmes de Paul Eluard.
Arioso, pour violon et piano, commande du Concours International Marguerite Long-Jacques Thibaud 1987.
Le Concerto pour alto et orchestre, pour le Concours International d'interprétation Musicale de Reims 1988.
Poème pour orchestre, commande de la Communauté des Radios Publiques de Langue Française. L'œuvre a été créée au Palais Montcalm, à Québec, le 12 février 1990, par l'Orchestre Symphonique de Québec sous la direction de S. Streatteild, et redonnée à Toronto le mois suivant.
Sonate pour piano et violon. 1996. Commande de Radio France.
Tumultes, pour piano. (Concours Long-Thibaut 1998)
Deux images de nuits, pour piano. 1999.
En 1956, Serge Nigg est nommé au Comité de la Musique de la Radiodiffusion Française.
En 1967, il entre à la Direction de la Musique où il est chargé par Marcel Landowski de l'Inspection des Théâtres Lyriques Français. Il y restera Jusqu'en 1982. A cette date, lui est confiée, au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, la classe d'instrumentation et d'orchestration nouvellement fondée. Il est appelé, en 1982, à la Présidence de la Société Nationale de Musique, fondée en 1871 par Camille Saint-Saëns. C'est au sein de cette Société, dont le rôle s'est révélé historique, que furent créés pendant des dizaines d'années la plupart des chefs d'œuvre de l'Ecole Française.
Serge Nigg est titulaire de nombreux Prix : le Prix Italia (Venise 1958) ; le Grand Prix de la Communauté radiophonique des Programmes de Langue Française (Montréal, 1963) ; le Grand Prix Musical de la Ville de Paris (1974) ; le Grand Prix de la SACEM pour l'ensemble de son œuvre (1978) ; le Prix Florence Gould, à deux reprises (Académie des Beaux-Arts, en 1976 et 1983), le Prix René Dumesnil en 1987 également décerné par l'Académie des Beaux-Arts, le Prix de la meilleure création contemporaine SACEM 1991.
En 1989, il est élu membre de l'Institut et en 1995 Président de l'Institut et de l'Académie des Beaux-Arts.
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Vincent Paulet
Après de premières études musicales à Reims, où il est né en 1962, Vincent Paulet est, au Conservatoire National Supérieur de Paris, l’élève de Jean-Claude Raynaud (harmonie), Jean-Claude Henry (contrepoint), Michel Merlet (fugue), Serge Nigg (orchestration) et Claude Ballif (analyse) et obtient un premier prix dans chacune de ces disciplines.
Sa formation d’organiste (sous la direction d’Arsène Muzerelle à Reims et de Gaston Litaize à Saint-Maur) l’amène à une activité de concertiste, à laquelle il met fin en 1994 dans le but de se consacrer principalement à la composition.
Lauréat des concours internationaux de Saint-Rémy-de-Provence, Kobe (Japon), Trieste et Tarragone (Espagne), prix Pierre Cardin et André Caplet de l’Académie des Beaux-Arts, lauréat de la Fondation d’entreprise Groupe Banque Populaire, il est le premier compositeur français à remporter, en 1997, le prix “ Alea III ” de Boston. Il reçoit en 2005 le “ prix de la meilleure création ” de la SACEM pour “ Le grand stellaire ”.
Compositeur en résidence au Théâtre de la Renaissance d’Oullins (Rhône), puis au “ Bel Image ” de Valence, pensionnaire de la Casa de Velázquez (Espagne) de 1994 à 1996, il est actuellement professeur d’Écriture au Conservatoire National de Région de Lille.
Exécutées dans la plupart des pays d’Europe, ainsi qu’aux U.S.A., au Canada, au Japon et en Russie, ses œuvres ont été interprétées notamment par Sir Neville Marriner, John Nelson, Mark Foster, Joël Suhubiette, Olivier Latry, Jacqueline Méfano, Ishiro Nodaïra, Alain Neveux, Bertrand Chamayou, Isabel Soccoja, les quatuors Parisii, Ravel et Danel, l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre National de Lille, l’Ensemble Orchestral de Paris, les BBC Singers, le chœur de chambre “ Les Éléments ”, les ensembles Alea III de Boston, Erwartung, Controverse, 2E2M …
Les deux derniers disques consacrés à la musique de Vincent Paulet (“ Harpe bleue ”, disques Triton , en 2003 et “ De profundis ”, aux Editions Hortus, en 2004) ont été salués par la presse musicale (“ Choc ” du “ Monde de la Musique ” pour “ De profundis ”).
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Site internet de Vincent Paulet : http://www.vincentpaulet.com
Jean Poinsignon
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Pierre Porte
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François Rossé
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Louis Saguer (1907 - 1991)
Louis Saguer, né le 26 mars 1907 à Charlottenburg (Berlin), est naturalisé français en 1947.
Il étudie le piano avec Gino Tagliapietra, la composition avec W. Bülau et W. Klatte , la direction d'orchestre au conservatoire Stern de Berlin. Il devient collaborateur de E. Meisel pour la musique des films Le Cuirassé Potemkine, Dix Jours qui ébranlèrent le Monde (Eisenstein), Les Merveilles du Ski (Trenker), Kühle Wampe (H. Eisler)…
En 1927/29, il est chef de chant, assistant de mise en scène et de chorégraphie à l'Opéra d'Etat de Berlin, chef d'orchestre et assistant pour la mise en scène au Théâtre Piscator.
En 1929, il travaille l'orchestration à Paris avec L. Aubert, et reçoit les conseils de Honegger et Milhaud.
En 1932, il étudie avec Hindemith et Kurt Sachs.
Il devient assistant d'Eisler à l'Université Ouvrière et à la Chorale Populaire de Berlin.
Après ce brillant départ, Louis Saguer, épris de liberté, s'installe à Paris tout en faisant de longs séjours en Provence, Italie, Sicile, Espagne, Portugal…
Son besoin d'apprendre et sa culture exceptionnelle (8 langues !) lui permet d'étudier les Hommes et leurs œuvres.
Sa musique en est un rare et brillant reflet.
En tant que pianiste et claveciniste, il donne des concerts aux radios françaises, belges, allemandes, à Darmstadt, au Festival de St Maximin…
Il interprète surtout des œuvres contemporaines (Boulez, Dutilleux, Jolivet, Martinet, Messiaen, Nigg…) et, au clavecin, des auteurs français, italiens, espagnols des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles.
Il accompagne également Marya Freund, Lotte Léonard, Hélène Bouvier, Irène Joachim, Georges Thill….
En tant que chef d'orchestre, il crée de nombreuses œuvres françaises à la radio.
Il a été assistant de Hermann Scherchen et chef de la chorale populaire de Paris.
Il signe la musique du film Le Signe du Lion d'Eric Rohmer.
Il donne des cours d'analyse (Darmstadt (1949), Fondation Gulbenkian de Lisbonne (1962-1968), Université d'Aix en Provence…) des conférences…
Louis Saguer a reçu le Copley Award à Chicago en 1961, la Grand Prix de Monaco en 1964 pour son opéra Mariana Pineda, le Premier Prix de l'American Association of Negro Musicians en 1973 pour Daybreak in Alabama et le Prix de la Sacem en 1974.
Louis Saguer est mort à Paris le 1er mars 1991.
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Samuel Sandmeier
Né en 1932, organiste et compositeur titulaire de l'orgue de Valentigney dans le pays de Montbéliard, il a travaillé le piano avec Robert TRIMAILLE (licencié de l' E.N.SUP. de Paris) en même temps que J.Claude Risset, puis avec Mme BASCOURET, professeur dans cette même école. Il s'est ensuite orienté vers l'orgue, a fréquenté les académies d'orgue d'été et étudié cet instrument avec Michel STRICKER (Strasbourg) et Michel CHAPUIS (Paris).
Nombreux concerts d'orgue et de musique de chambre en France, en Allemagne, en Suisse, en particulier concerts de musique "baroque" en trio avec J.François ALIZON (flûte à bec, Strasbourg) et Niels FERBER (hautbois baroque, Genève) tous deux diplômés de l'académie de Bâle.
Il a étudié l'écriture (harmonie, contrepoint...) avec Robert BREARD (grand prix de Rome) puis Jean-Louis GAND (directeur du conservatoire de Dijon).
Le concerto pour violon et orchestre a été créé en 2002 au Festival international de musique de Besançon par Alexandre BRUSSILOWSKI. (Durée : 30 mn)
Le 1er Quatuor à cordes a été créé à Mexico en 1999 puis diffusé à la radio musicale de ce pays (durée : 21 mn).
La sonate pour violon et piano a été créée aux "musicales internationales " des Hautes-Alpes par Otfrid NIES, 1er violon et professeur à l'université de Kassel (21 mn).
Nombreuses créations avec la collaboration des professeurs des conservatoires de Belfort, Montbéliard et Besançon...
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Michaïl Sebaoun
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Elzbieta Sikora
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Site internet de Elzbieta Sikora : http://www.elzbietasikora.com
Gilles Silvestrini
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Dimitri Tchesnokov (1982)
Pianiste et compositeur ukrainien, né en 1982.
Formé principalement en Ukraine et en France il étudie actuellement l’orchestration avec Guillaume Connesson.
Durant ses études pianistiques il acquiert un large répertoire comportant un grand nombre des pièces de Franz Liszt, Frédéric Chopin, Alexandre Scriabine, plusieurs concertos (Beethoven, Brahms, Tchaïkovski, Rachmaninov…), ainsi que ses propres compositions.
Sa plume ardente donne naissance à une Ballade symphonique, deux symphonies pour cordes, un concerto pour piano et cordes, Requiem pour piano seul, plusieurs œuvres de musique de chambre ainsi qu’une trentaine des pièces pour piano. Il a fait également la transcription pour piano de prélude de « Tristan et Isolde » de Richard Wagner et la transcription pour alto et piano de « Une prière » de Nicolas Bacri – œuvre publiée aux éditions « Durand ».
Passionné par Liszt, Scriabine et Schnittke il mène une vie artistique effervescente se produisant en concert en France et à l’étranger, autant en soliste qu’en chambriste.
La musique de Dimitri Tchesnokov est publiée aux éditions « Delatour France ».
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Daniel Tosi
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Iassen Vodenitcharov (1964)
Yassen Vodenitcharov est né en Bulgarie le 19.05.1964.
Après ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Sofia (composition, piano, écriture, orchestration, analyse et histoire de la musique), en 1990 il arrive à Paris pour suivre un stage de musique électroacoustique au GRM, à Radio-France.
En 1991 il est admis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de composition de Paul Méfano, où Il obtient son prix en 1995.
En 1993 il est boursier de la fondation “Nadia et Lili Boulanger”. La même année il obtient le Grand Prix du Dixième Concours de Composition "Gen-On", à Tokyo.
En 1994 il participe, en tant que boursier, au Festival de Darmstadt, en Allemagne avec sa pièce “Résonances de...”.
En 1997 il obtient le DEA (Diplôme d’Etudes Approfondies) de Musique et de Musicologie du XXème siècle, à l’IRCAM, sous la direction de Hugues Dufourt.
En 2001 il devient lauréat du Prix Beaumarchais de la Société Française des Auteurs et Compositeurs Dramatiques, pour son opéra “L’Arbre qui parle”. La même année cet opéra est présenté au Studio Théâtre de la Comédie Française, à Paris.
En 2005 il devient lauréat du Concours International de Composition Bruno Maderna à Wurzbourg, en Allemagne.
Pendant la période du mois de juillet au mois de décembre 2005, Yassen Vodenitcharov est envoyé par l’Association Française des Affaires Artistiques, comme compositeur en résidence, à la Villa Kujoyama à Kyoto (Japon).
L’oeuvre de Yassen Vodenitcharov comprend une quarantaine de pièces (solos, musique de chambre, musique électro-acoustique, oeuvres symphoniques, musique vocale et opéras). Ses compositions ont été jouées dans la plupart des pays d’Europe, ainsi qu’au Japon, au Canada, aux Etats-Unis, et au Venezuela. Il reçoit des commandes du Ministère français de la Culture, de la Radio-France, de la SACEM, ainsi que de festivals tels que World Music Days, Darmstadt, la Biennale de Zagreb, Présences, Why Note, Musica Nova, A Tempo, etc.
Éditeur principal : Éditions Musicales Européennes, Paris
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Site internet de Iassen Vodenitcharov : http://www.emepublish.com
Jean-Jacques Werner
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Dominique de Williencourt (1959)
Conseillé par Zino Francescatti et disciple d’André Navarra, Philippe Muller, Marcel Bardon et Mstislav Rostropovitch, il a été invité dans plus de quarante pays, des Amériques au Japon. Il est également le dédicataire d’œuvres de Bacri, Jevtic, Florentz, Lancino, Larchikov, Silvestrini, Uebayashi, Vercken. En octobre 2004, il est invité au jury du Concours International de quatuor à cordes Chostakovitch à Moscou par le Maestro Valentin Berlinsky du Quatuor Borodine.
Il s’inspire de ses voyages au Sahara, Yémen, Caucase, Asie centrale, Inde pour composer des œuvres inspirées de thèmes touaregs, arméniens, tibétains... Un documentaire de 52 minutes sur sa recherche de silence en parcourant avec son violoncelle les déserts du monde a été réalisé pour la chaîne Mezzo.
Il a obtenu le Grand Prix de l’Académie du Disque. En 2005, il présente les concertos de Joseph Haydn (EA Records 0408) avec l’Orchestre Saint Christophe de Vilnius et les Sonates de Beethoven (EA Records 0406/1/2) avec le pianiste Emile Naoumoff.
Un CD monographique de ses œuvres est prévu pour fin 2006.
Nommé Président de l’Association reconnue d’utilité publique “Pour que l’Esprit Vive” en 2006, il a initié un lieu de résidence d’artistes parrainé depuis 2002 par l’Académie des Beaux-Arts à Paris et des Rencontres Musicales à l’Abbaye de La Prée (36, Indre) avec Nicolas Bacri et Hélène Thiebault.
Directeur artistique d’Europ & Art, société de production musicale, il organise depuis 1994 les Croisières La Musicale avec Lord Yehudi Menuhin, Marcel Landowski, Barbara Hendricks, José Van Dam, Teresa Berganza, Marilyn Horne, le Quatuor Borodine, le Fine Arts Quartet, Gérard Poulet, Marielle Nordmann, Jean Ferrandis...
Dominique de Williencourt a inspiré le livre de Jacqueline de Romilly De la flûte à la lyre. Un violoncelle à son nom, en sculpture peinte, a été fait par le sculpteur belge José Chapellier (2006). Il enseigne au Conservatoire Supérieur de Paris-CNR et a été nommé Chevalier de l’Ordre National du Mérite.
Depuis l’an 2000, il joue sur un exceptionnel violoncelle de J. Gagliano (1754) ainsi qu’un archet de F.X. Tourte (1825).
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Site internet de Dominique de Williencourt : http://williencourt.com
Jean Claude Wolff
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